Bières
Origine des ingrédients
Malts de base
Les malts de base Première Moisson, proviennent de la Malterie de l’Ouest (Nouvelle Aquitaine).
Les céréales sont collectées par des coopératives proches de la malterie leur assurant une traçabilité totale.
“Partageant les mêmes valeurs relatives à l’environnement, à la qualité des aliments et à la logique de circuit court,
c’est un collectif de brasseurs artisanaux qui nous a amené à nous intéresser à la production de malt local.”
- Laurent et Vincent —
Les malts spéciaux (grillés, caramélises ou torréfiés)
Proviennent de la Malterie du Château, la malterie la plus ancienne de Belgique et une des plus anciennes malteries du monde, située auprès du château de Beloeil.
Leur grande gamme de malts permet de jouer sur les couleurs et goûts des bières de la Brasserie Clouque.
Les houblons
L’augmentation mondiale du nombre de brasseries et de brasseurs amateurs combiné à la popularisation des bières fortes en houblons (type IPA), on assiste à une montée en flèche des ventes de cette précieuse fleur.
“Les producteurs mondiaux ont du mal à suivre cette tendance. On assiste à une augmentation des parcelles de houblon de 3 000 ha/an depuis plusieurs années. Les USA et l’Allemagne, les principaux pays producteurs, couvrent à eux seul près de 75% de la production mondiale.” (houblonsdefrance.fr)
Les houblons utilisés par la Brasserie Clouque proviennent majoritairement de ces deux pays, en fonction des recettes et des arômes recherchés (les houblons Américains étant généralement très aromatiques et adaptés aux IPA).
La “Voilà l’été”, la blonde sauvage, est préparée avec 95% de houblon sauvage récolté à quelques pas de la brasserie. La “Come Together” est brassée avec 100% de houblon frais bio de Guinarthe où un producteur passionné s’est lancé dans la culture du houblon (EARL des 2 Gaves) et a fait sa première récolte en 2023.
L’objectif est de faire une transition progressive vers les variétés produites par cette entreprise.
“Le but ultime étant de cultiver nous même du houblon dans notre beau Béarn. Si ça pousse à l’état sauvage on doit pouvoir l’apprivoiser !”